— le 22.09.2014 —
Ne vois-tu rien venir ?
L’injonction est âpre mais lumineuse.
Ne vois-tu rien venir ?
Délicate entreprise d’intercaler l’étrange.
Ne vois-tu rien venir ?
De l’Ubac ; dans le premier jardin au bout de la rue, sur terrain battu ; l’on en découvre, l’infortune des installations graphiques que l’artiste poursuit, répète, entrechoque.
Germain Berdié invente et déploie quelque chose dont il me reste la finesse, comme quand il invoque : « take me to your murmur ».