Anna Fayard, chorégraphe

— 2007 —

Germain a une singularité à la fois abstraite et touchante.

Il creuse les mots, tisse un environnement visuel et sonore, pratique également la danse.

« L’augure » serait son mot de passe ; de passage entre la réalité qu’il capte et l’imaginaire qu’il construit, dégageant ainsi le souffle d’un temps singulier, inédit.


— 09.2014 —

Ubac (restitution de résidence), titre court et rythmique, dresse un cadre pour l’artiste Germain Berdié qui y déploie des évocations personnelles : agencement d’objets, de photos, de volumes et cheminement dans l’espace, de tonalités désolées en points de fuites, d’asphyxie en multiplications graphiques. J’aime beaucoup la discrétion des multiples présences dans un ensemble de multitude singulière. C’est un peu l’infini.